Dash, la nouvelle app pour payer dans les bars avec un smartphone

une tournée des bars entre amis, cela se fait partout, en Silicon Valley ou ailleurs. Mais parfois, la soirée parfaite tourne au cauchemar : serveurs débordés qu’il est impossible d’alpaguer pour récupérer le fameux “check”, perte ou oubli de sa carte bleue…
Pour nous simplifier la vie, Jeff McGregor and Gennady Spiring ont eu la bonne idée de lancer Dash, un service de paiement par smartphone. Déjà opérationnel à New-York, et prévu incessamment sous peu dans d’autres grandes villes américaines comme San Francisco, ce service permet de régler l’addition sans avoir à capter l’attention d’un membre du personnel débordé. Au-delà de ce gain de temps, le système permet aussi de diviser aisément l’addition entre les convives. Et, “last but not least”,comme Uber ou Lyft, le paiement est dématérialisé : il suffit d’inscrire ses coordonnées bancaires dans l’application pour être automatiquement débité. A vous de juger si c’est une bonne chose ou non, le fait de ne pas voir vos petits billets verts sortir du porte-monnaie pouvant rapidement devenir un pousse-au-crime…

 

ITW : Ne cherchez plus, Find it s’en charge !

Une semaine déjà de passée et il est temps pour Silicon-Valley.fr de vous présenter la start-up qui a retenu notre attention cette semaine. Nous avons passé un peu de temps avec Adriana Vecchioli, de passage sur San Francisco pour 3 mois. Cette jeune entrepreneur parisienne a décidé de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale et créer Find It… Vous vous demandez de quoi il s’agit ?

 

Adriana Vecchioli : Age, sexe, ville
24 ans – Femme. Née à Paris et vivant à Londres. J’ai passé mon été à San Francisco à la rencontre d’innovateurs, de bonnes pratiques et surtout pour m’inspirer.

Ton Parcours Professionnel en 3 étapes clés
ESCP Europe : J’ai étudié 3 ans à l’ESCP, ce qui m’a permis de rencontrer la plupart de mes partenaires aujourd’hui. Mon passage à la Chaire Entrepreneuriat a confirmé mes ambitions entrepreneuriales !

NYC : J’ai vécu un an et demi à New York et cette expérience a énormément changé ma façon de penser. Je n’ai rarement vu autant de diversité dans un même lieu qu’à New York. On en apprend beaucoup sur les autres et leurs cultures. De plus, les gens n’ont pas peur de se montrer ambitieux ou de déclarer vouloir changer le monde. En France, en revanche, il y a une certaine humilité ou timidité à ce sujet. On aime bien être petit, tandis qu’aux Etats-Unis, il faut voir les choses en grand pour être pris au sérieux.

Find It : Créer une entreprise est de loin l’expérience la plus excitante et angoissante que j’ai connu. Depuis 6 mois, je développe une application pour Google Glass qui enregistre l’emplacement de ses affaires, simplement en prenant une photo. Nous étions deux il y a peu et je suis de nouveau seule sur le projet, mais il semble que de nouveaux participants viennent très bientôt se joindre à l’aventure !

Quel entrepreneur es-tu ? 3 mots pour te décrire !
Hungry, Analytical & Resourceful.

Hungry : sans soif de changer les choses, impossible de se lancer dans l’entrepreneuriat.

Analytique : justifier toute décision par des data.

Resourceful : quand on crée une entreprise, on est amené à faire plusieurs métiers en un : designer, programmer, marketer… Il faut apprendre très vite les bases d’un nouveau domaine, ce qui est excitant et effrayant à la fois !

Peux tu me parler de ton projet de start-up ?
Mon projet est né il y a 5 mois, en essayant les Google Glass d’un ami. J’ai passé les semaines suivantes à imaginer quels types d’apps on pourrait développer pour cette plateforme !

Mon projet a commencé à prendre forme lors du hackathon d’Imperial College en mars. En 48h, nous avions créé un prototype ! Un mois plus tard, nous étions deux sur le projet et la bêta était prête à être partagée. Nous pouvions enfin tester l’app et obtenir des suggestions de la part des premiers utilisateurs. Find It, c’est l’application qui vous aide à retrouver toutes vos affaires sans efforts.

Comment l’idée t’est venue ?
Je perds souvent mes affaires et j’ai tendance à me demander 10 fois d’affilé si j’ai pris mes clés, mon portefeuille, etc. Il tombait souvent le sens de créer un outil pour me simplifier la vie !

Moments clés positifs et négatifs ?
Les + : L’ensemble des personnes rencontrées au cours du projet : les partenaires, les utilisateurs, etc. J’ai plus appris en 5 mois qu’au cours des 24 années précédentes (ou presque) !

Les – : Lorsque mon premier co-fondateur a brusquement quitté l’aventure, c’était assez déprimant. L’entrepreneuriat ressemble aux montagnes russes, avec des instants d’euphories et des temps durs où on pense ne pas pouvoir y arriver.

FRANCE vs. SILICON VALLEY : On parle beaucoup de la French Touch dans l’entrepreneuriat, qu’en penses-tu ?
C’est génial que les choses commencent à bouger en France, mais il y a encore du chemin à faire. Il y a de vrais talents en France mais les mentalités sont encore trop frileuses. Les dernières initiatives portées par TheFamily, NUMA, la Chaire EEE et bien d’autres aident véritablement à bousculer cet état de fait.

Que représente la France dans ton aventure, est-elle propice à l’innovation ? Faut-il s’exporter ou tout du moins s’inspirer ailleurs pour réussir ?
J’ai quitté la France il y a 4 ans, soit bien avant mon projet entrepreneurial ! Tôt ou tard, il faut sortir du pré carré français pour réussir. A Londres, à seulement 2 heures de train, l’écosystème start-up est bien plus dynamique, et ne parlons pas des Etats-Unis. Par exemple, les levées de fonds à San Francisco ont souvent un zéro de plus par rapport à la France.

La Silicon Valley = d’innovation, penses-tu que ce soit toujours le cas ?
C’est toujours le cas mais l’écosystème est extrêmement mâture. Les gens sont tous intelligents. Ils en ont vue d’autres depuis 20 ans… C’est un milieu très exigeant et compétitif. Tandis que des écosystèmes tech plus jeunes comme Londres ou New York sont plus indulgents et ouverts à l’exploration et l’expérimentation. Il peut être utile de faire ses premiers pas hors de la Silicon Valley, mais si l’on souhaite vraiment compter et rencontrer les acteurs mondiaux les plus influents, il faudra se créer une présence là-bas.

Evolution de ta start-up en 3 points clés
Court terme : Améliorer Find It, affiner le concept, agrandir la team.

Moyen terme : Tout dépend de l’adoption des Glass et des prochains wearables, sachant qu’il y a une certaine réticence aujourd’hui. C’est assez difficile pour nous de prévoir, car il y a énormément de facteurs à prendre en compte. Mais on espère être reconnu comme une des premières applications dédiées !

Long terme : Au delà d’enregistrer l’emplacement d’objets, on souhaiterait créer un service globale et multi-plateformes qui permettrait de gérer virtuellement des objets physiques. Ce pourrait être étendu aux industries de stockage et de logistique par exemple.

Si vous deviez citer une startup française à suivre en ce moment, laquelle ?
Mindie ! Même s’ils viennent de s’installer à San Francisco

Le mot de la fin t’appartient…
N’ayez pas peur d’entreprendre, lancez-vous !

Si cette interview vous a plus et que vous souhaitez vous aussi être publié sur Silicon-Valley.fr, 5 lignes suffisent. Pitchez-nous, inspirez-nous et vous serez peut-être le prochain. Cette rubrique est faite pour vous alors, profitez-en ! Par ici vos pitchs !

ITW : Weeleo change votre façon de voyager !

Cette semaine chez Silicon-Valley.fr, nous avons rencontré Raphaël Dardek, jeune entrepreneur, fraichement arrivé sur San Francisco et qui souhaite révolutionner le monde du voyage et de l’échange de devises entre particuliers. Lui et son équipe se sont donnés 3 mois pour lever des fonds et propulser Weeleo !

Raphaël Dardek, jeune start-uper, mais encore ?
J’ai fait un master 2 en entrepreneuriat et innovation, ce qui m’a permis d’apprendre la base du commerce, du management et de la création d’entreprise. J’ai ensuite travaillé pendant 2 ans chez Thales en marketing, puis en gestion de projet. J’ai aussi toujours été passionné par l’univers du digital et de la tech. J’ai très rapidement choisi de créer ma start-up dans ce secteur.

Weeleo, Quézako ?
Nous voyageons régulièrement dans des pays étrangers et nous échangeons nos devises dans des bureaux de change. Nous perdons de 3 à 25 % de frais pour un simple service. De plus, nous retournons très souvent avec des devises étrangères chez nous, car ces bureaux de change ne reprennent généralement pas notre petite monnaie.  C’est dans l’optique de répondre à ce problème qu’est né Weeleo. Weeleo est la toute première solution, qui permet de mettre en relation des particuliers dans le but d’échanger des devises de main à main, au taux du jour et gratuitement. Weeleo est aussi une plateforme communautaire pour se passer des bons plans entre voyageurs.

Comment t’est venue l’idée de ce projet ?
L’idée m’est venue après un séjour universitaire à Seoul. Le campus m’a rendu la caution de mon logement en Won Coréens. Un de mes amis m’a ensuite proposé de me les reprendre au taux du jour. Je n’ai pas saisi son offre et j’ai fini par les échanger dans un bureau de change. J’ai ainsi perdu plus de 100€.

Des moments clés de la naissance de ta startup (positifs et négatifs) ?
Nous avons surtout passé des moments positifs : notre premier pitch au palais impérial de Vienne, le lancement de notre application, nos premiers utilisateurs, notre entrée chez Paris Incubateurs, notre sélection pour un programme d’accélération à San Francisco… Les petits côtés négatifs sont très vites effacés.

Et la French Touch dans ton/votre aventure Californienne à toi et ton équipe ?
Je pense qu’elle se développe beaucoup en France et qu’il y a encore énormément à faire. Il faut encore changer les mentalités à beaucoup de niveaux. La French Touch est cependant très présente à l’étranger et notamment à San Francisco. C’est un véritable atout dans cette ville composée de plus de 60 000 Français.

France et innovation, mythe ou réalité pour toi ?
Je pense que la France représente un véritable levier pour la création d’entreprise. Il existe une multitude d’aides pour les jeunes entrepreneurs qui se lancent. Il est très difficile de trouver l’équivalent à l’étranger. Cependant, l’écosystème Français manque encore de flexibilité sur plusieurs niveaux, ce qui est notamment peu favorable pour attirer des capitaux dans notre pays.

Silicon Valley = innovation, penses-tu que c’est toujours le cas ?
Je pense en effet que c’est toujours le cas. Ici les “success stories” sont très nombreuses. Il est donc plus facile de rencontrer des acteurs influents du monde des start-up. Les gens restent simples et disponibles. Les capitaux y sont beaucoup plus important, ainsi que les opportunités de développement. De mon point de vue, il s’agit toujours de la principale destination pour développer sa start-up, même si aujourd’hui la ville de New York devient de plus en plus présente et intéressante.

Le Futur de Weeleo, c’est comment ?
Nous souhaitons très rapidement nous développer sur le territoire américain mais aussi dans de nombreux autres pays. Notre principal objectif est d’agrandir notre communauté internationale.

Une start-up à suivre selon ?
Je crois beaucoup au potentiel des start-up dans l’économie collaborative comme Blablacar ou Drivy.

Un dernier mot pour nos lecteurs ?
Change the way you travel and use Weeleo 😉

Si cette interview vous a plus et que vous souhaitez vous aussi être publié sur Silicon-Valley.fr, 5 lignes suffisent. Pitchez-nous, inspirez-nous et vous serez peut-être le prochain. Cette rubrique est faite pour vous alors, profitez-en ! Par ici vos pitchs !

Hitch ! Un énième service de transport à San Francisco

Malgré les polémiques autour des services de transport VTC Uber et Lyft, un nouveau service vient de voir le jour à San Francisco : Hitch ! Mélange entre covoiturage et VTC, Hitch entre dans la catégorie du « ride-sharing » en proposant à ses passagers de partager leur véhicule avec des personnes souhaitant effectuer un trajet similaire. Moins cher que le taxi traditionnel et plus rapide que le bus, la start-up est une alternative convenable pour les clients qui ne souhaitent pas dépenser trop dans les transports et pour qui le fait de partager un trajet ne pose pas de problème.

Le principe de ce nouveau service de transport est simple : une application qui détecte les personnes souhaitant se rendre au même endroit et qui se trouvent à proximité les unes des autres. Grâce à son système de géolocalisation, c’est aussi simple qu’efficace. Hitch est pour le moment uniquement disponible sous IOS. Il est en grande partie similaire aux autres applications du genre. Il suffit d’indiquer votre destination et le tour est joué. Votre futur chauffeur est prévenu de votre réservation et des demandes similaires et va ainsi pouvoir transporter jusqu’à trois personnes différentes pour une même course. Non seulement vous économisez de l’argent sur la course, mais contribuez également au respect de l’environnement grâce à ce geste beaucoup plus écologique que si vous aviez utilisé un service de transport classique.

Un service de « ride-sharing »

Pour un prix de base de $6 pour un peu plus de 3 kilomètres et un surplus d’un dollars de plus pour chaque passager supplémentaire, Hitch offre un service de transport à un prix très peu élevé et hyper compétitif pour se déplacer dans les rues de San Francisco. Le prix est fixé en fonction de la distance et du temps du parcours. En revanche, contrairement aux autres applications, Hitch prend également en compte le facteur de jumelage. Cet algorithme permet à l’application de mesurer la probabilité que l’itinéraire demandé puisse être partagé avec d’autres personnes. Cela va permettre alors de fixer un prix qui sera donné aux usagers avant leur départ via l’application.

Hitch ne vous fait pas payer de supplément sur la distance parcourue pour récupérer les autres passagers. La start-up a en effet été créée dans le but de vous permettre de vous déplacer à moindre coût tout en profitant du confort de ce type de transport qui se différencie par son côté social et d’engagement communautaire. C’est dans cette optique qu’Hitch vous proposera de vous renseigner sur les autres passagers. Vous aurez ainsi accès aux amis Facebook que vous avez en commun et vous serez informé des centres d’intérêt de votre ou vos co-passagers. Rien de tel pour entamer la discussion, briser la glace et passer un moment plus convivial.

Son fondateur, Snir Kodesh, a d’ailleurs confié au Business Insider, vouloir créer une communauté autour de son service sur le même principe que Tinder ou LinkedIn. L’idée nous rappelle plus le principe de Blablacar et de sa communauté qui proposait de partager son véhicule sur de plus long trajets !

Le marché du transport BouchONNé dans la Silicon Valley

Vous l’aurez compris, Hitch s’inscrit dans la lignée, en pleine croissance, des services de transport de centre ville. Entre le covoiturage de Blablacar et le système VTC d’Uber, le concept de la start-up est innovant. Sur ce marché saturé qu’est celui de San Francisco, l’entreprise pourra-t-elle se trouver une place ? La guerre entre Lyft, Uber et les taxis traditionnels est déjà bien assez présente. L’arrivée d’un nouveau concurrent risque de ne faire qu’aggraver les choses et être défavorable au développement d’Hitch !

Sense : le marchand de sable de la Silicon Valley

Un nouveau projet affole les « bakers » sur Kickstarter : Sense, un capteur innovant permettant de trouver le sommeil plus facilement. Sous forme d’une petite sphère, Sense combine les données liées à votre organisme ainsi que les données liées à l’environnement de votre chambre, pour s’adapter au mieux à vos besoins et vous fournir un sommeil aussi profond que celui de la Belle au bois dormant.                 

Lancé depuis à peine quelques jours, le projet a déjà récolté plus de 700,000 dollars sur la plateforme américaine Kickstarter, ce qui se trouve être une somme bien plus élevée que la somme espérée. Un véritable succès pour l’équipe de Sense qui avait pour but premier de récolter la somme de 100,000 dollars en un mois. Le projet séduit les « bakers » de la Silicon Valley, qui y voit un moyen de régler leurs problèmes de sommeil.

La startup qui prend soin de votre sommeil

A l’origine de ce projet, il y a la startup Hello dont les locaux se trouve à San Francisco, au cœur de la Silicon Valley. Contrairement à de nombreuses autres entreprises se concentrant sur le développement de logiciels innovants, l’équipe de la startup californienne est constituée d’un mix d’experts en développement de logiciels, de designers, d’ingénieurs… C’est grâce à cet ensemble homogène de compétences que l’équipe d’Hello a pu mettre au point un produit aussi précis et performant que Sense.

Sense se différencie des autres appareils permettant d’analyser et d’améliorer son sommeil. Ici, le produit n’étudie pas uniquement les données liées à votre corps, mais également à son environnement dans la chambre. Pour cela le produit prend la forme de deux capteurs : un petit que l’on place sous son oreiller, et un plus gros à placer sur votre table de chevet. Le premier analyse toutes les données liées à votre corps et le second détecte toutes les informations relatives à l’environnement de votre chambre, grâce à un thermomètre, un capteur d’humidité, un détecteur de lumière et un microphone. Les données sont ensuite envoyées à votre smartphone via une application qui va regrouper toutes ses données pour mesurer la qualité de votre sommeil et vous permettre de l’améliorer.

Sense se fond dans votre environnement  

Sense se veut le moins intrusif possible dans votre environnement. Une particularité qui a certainement contribué à séduire un grand nombre d’investisseurs.

Les ingénieurs de Sense ont également fait en sorte que le produit soit extrêmement résistant afin d’assurer une durer de vie plus importante que la majorité des produits de haute technologie que nous retrouvons aujourd’hui sur le marché.

Nous à Silicon-Valley.fr on a été séduit ! Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

Center For Entrepreneur : pour les porteurs de projets

Issu des Etats-Unis, le programme Center For Entrepreneur de Dell a récemment étendu son champ d’action en France. Présent sur d’autres marchés comme le Royaume-Unis et l’Irlande, le programme de soutien aux startups de Dell se présente comme un incubateur et fournit aux entrepreneurs en herbe des solutions et expertises afin de les aider à mettre en place leurs projets le plus rapidement possible. A peine installé en France, le Centre pour Entrepreneur est déjà approuvé et recommandé par une trentaine d’entrepreneurs ayant participé au programme !

Favoriser l’émergence des startups

Le Centre pour entrepreneurs a été mis en place par Dell afin de permettre aux jeunes entreprises d’avoir accès à l’expertise, aux ressources et aux solutions nécessaires à leur déploiement sur le marché.

C’est dans cette optique que Dell a conçu son incubateur d’expertise et l’a axé autour de trois objectifs majeurs :

  • Fournir aux porteurs de projets français l’expertise, les ressources et les solutions nécessaires pour mettre en place et développer leur entreprise
  • Participer à l’épanouissement de l’écosystème de la FrenchTech et devenir contributeur de l’innovation française
  • Inculquer l’esprit entrepreneurial aux collaborateurs de Dell France.
Une opportunité de se rapprocher de ses client

Ce programme présente un avantage pour le géant américain qui souhaite redynamiser son offre et sa gestion de personnel. En se rapprochant de jeunes entreprises en développement, Dell se donne la possibilité d’observer et d’accéder directement aux nouvelles technologies mises en place par les startups qu’il parraine. Ce qui va donner un avantage non négligeable au groupe en termes d’innovation et d’avancées technologiques.

D’autre part, Dell se rapproche ainsi du marché et crée un lien solide avec ses clients. Le programme va lui permettre de gagner en visibilité et va apporter une valeur éthique à son image de marque, grâce à la création d’emplois, par exemple, et occasionnée l’émergence de nouvelles entreprises.

Un programme de soutien gratuit 

Dell organise dans le cadre de son Center for Entrepreneur des sessions de consulting afin d’aider les entrepreneurs à gérer au mieux leurs projets. Baptisées Dell Lunch & Learn Speed Consulting, ces sessions sont organisées sous forme de 4 meetings de 15 minutes avec 10 experts bénévoles. Les startupers participants peuvent alors choisir le spécialiste de leur choix et recevoir une expertise et des conseils de qualités afin de favoriser l’émergence de leur projet.

Une initiative à l’allure altruiste car la participation à ces entretiens est entièrement gratuite, ce qui est tout à l’honneur de Dell, qui permet ainsi aux jeunes pousses de se former à moindre frais. Le programme leur permet également de profiter de l’image de marque portée par Dell, et de ce fait devenir plus crédible et visible aux yeux de futurs investisseurs.

Pour les intéressés, il est un peu tard pour s’inscrire car le prochain évènement Dell Lunch & Learn Speed Consulting se déroulera ce 18 juillet 2014 en région parisienne, mais n’hésitez pas à profiter de cette formation lors de la prochaine édition. Un bon plan pour les startupers souhaitant se former sans se ruiner 😉